~~Notre route nous emmène à Natal plus exactement dans sa banlieue résidentielle, Ponta Négra. Nous trouvons sans difficulté un emplacement qui convient : plat, éclairé, proximité de la plage, de belles résidences, et des hôtels avec gardiens. Un riverain vient à notre rencontre et nous invite à boire le café chez lui. La soirée sera agréable malgré la difficulté des échanges brasilo-hispano-anglais !
Un petit tour chez FIAT pour changer le klaxon défaillant et nous voilà repartis.
A Pipa minuscule station, autre ambiance : de nombreux touristes, jeunes surtout, et un lieu magique, la plage de Golfinhos où l’on se baigne à marée basse en compagnie de dauphins peu farouches ; ils approchent à quelques mètres des nageurs.
~~Nous faisons une petite halte à Olinda. Le contraste est saisissant entre la ville coloniale et au loin les gratte-ciel de Recife.
~~A Porto Galinhas les surfeurs sont rois. Dés le lever du jour et jusqu’au coucher du soleil ils guettent la vague. On y déguste de bons poissons, les pieds dans le sable.
~~Nous traversons d’immenses plantations de canne à sucre. La récolte est en cours. Au Brésil on la transforme également en bio carburant (éthanol) distribué dans toutes les stations services.
~~Plus au sud les plages sont protégées par la barrière de corail ; chacune à son ambiance propre:
Tamandaré, calme, isolée et familiale.
Maragogi, animée et populaire.
Praia do Francés animée mais par une clientèle plus branchée ( maillot brésilien « obligatoire »).
Tamandaré, Maragogi et Playa do Francés.,les femmes assises au bord de l'eau ramassent des coquillages.
~~Dans toute cette région nous bivouaquons libres en bord de mer et en toute sécurité ; il est vrai que nous sommes hors saison, l’été ici ne commencera que fin décembre.
A Aracaju grande ville de 600 000 habitants nous allons directement au camping situé en bord de mer et ombragé par les cocotiers. Hélas le wifi tant espéré ne fonctionne pas. Tant pis demain nous reprendrons la route vers Salvador de Bahia.